samedi 27 septembre 2008

Anderlecht cherche un autre sponsor ...

Même le Standard s'y met pour remonter le moral de Fortis !


source: Le Soir du 27 septembre 2008

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jeudi 25 septembre 2008

Avis d'un spécialiste

Nick Leeson: "La surveillance des banques, c'est David contre Goliath"

L'ancien trader escroc, tombeur de la Baring's, critique le manque de moyens des autorités de contrôle."Ce que j'ai pu faire chez Barings dépasse l'imagination", a-t-il dénoncé.

Bruxelles (L'Echo) -  De passage à Bruxelles, à l'invitation de Financial Architects, une société de logiciels de gestion de risque, Nick Leeson a prononcé une conférence sur... la gestion de risque dans le secteur bancaire! Nick Leeson est ce trader qui avait mis par terre à lui tout seul la banque britannique Barings en 1995 en effectuant des transactions interdites sur l'indice japonais Nikkei. Il avait creusé un trou de 827 millions de livres et avait été condamné à quelques années de prison à Singapour. Interview... 

La crise du crédit a montré, comme dans l'affaire Barings, que la gestion de risque laisse à désirer chez les banques. Comment cela se fait-il?
La gestion de risque? Beaucoup de risque, mais peu de gestion... Les banques et les institutions financières ne sont pas enclines à mettre de l'argent dans la gestion de risque. Pour elles, ce ne sont que des coûts. Après la chute du fonds à levier LTCM, de Barings et de quelques autres, les banques ont eu suffisamment d'occasions de renforcer le contrôle interne. Mais l'accent est mis sur la course après l'argent, sur la cupidité. Les banques n'ont pas suffisamment compris que la gestion de risque sert en définitive à sauver du capital, y compris le leur. Elles sont en outre convaincues que les problèmes qui touchent les autres ne les frapperont pas elles-mêmes.


Ce n'est pas uniquement en interne que ça a mal tourné, les organismes de surveillance sont aussi intervenus trop tard...

Cela n'a rien de surprenant. L'expertise sur les marchés financiers va à celui qui a le plus d'argent pour se  la payer:  ce ne sont ni les gouvernements ni les banques centrales mais bien les institutions financières... C'est un peu comme David contre Goliath. Les organismes de surveillance, les banques centrales et les régulateurs n'ont ni l'expertise, ni les moyens en interne pour exercer leur tâche comme ils e doit. Ils ne peuvent dès lors pas poser les bonnes questions aux institutions financières.

Ce que j'ai pu faire chez Barings dépasse l'imagination. La banque centrale britannique avait donné à Barings à Londres l'autorisation pour envoyer à Barings Singapour un montant égal à deux fois le capital de la banque. C'était dix fois plus que permis, simplement parce que les gens à la banque centrale n'avaient pas compris. Aussi longtemps que l'équilibre ne sera pas rétabli entre le grand char d'assaut (les institutions financières) et le petit pistolet (les gouvernements, les banques centrales et les régulateurs) en matière de connaissance et de rémunération de cette connaissance, cela continuera à aller de travers.


Les conseils d'administration et les directions des banques comprennent-ils bien les produits financiers dans lesquels ils investissent?
Il ne suffit pas de disposer de toute l'information - et celle-ci fait déjà défaut -, encore faut-il la comprendre. Et sur ce plan, cela a évolué de travers. Toute banque devrait veiller à ne pas aller si loin  que certains produits en deviennent incompréhensibles (je pense surtout aux produits dérivés et aux véhicules hors bilan). Cela m'étonne que la Société Générale ait été victime fin janvier d'une fraude massive, car elle disposait des meilleures personnes en son sein pour comprendre ces produits. Mais le problème est que ces personnes sont souvent trop éloignées du terrain où ces produits sont négociés. Il ne faut pas opérer dans ce qu'on ne comprend pas. Il faut comprendre soi-même les risques et les expliquer aussi aux clients, ce qui n'a pas été fait non plus.

Comme chez Barings, était appliqué un système de bonus basé sur l'ampleur des bénéfices obtenus pour la prise de gros risques. Faut-il modifier cela?
Ce sera très difficile car le système de bonus est précisément ce qui attire les personnes les plus intelligentes. Le problème n'est pas tant le système de bonus que les sommes gigantesques qui sont confiées à des personnes qui ont souvent moins de 30 ans. Des gens comme moi lors de ma période Barings à Singapour, sans expérience de vie et motivés par le statut et le succès. Ca a été ma plus grosse gaffe. Je regrette ce que j'ai fait, mais je ne peux pas faire remonter le temps. Mon conseil aux jeunes traders? N'essayez pas de redresser une situation  issue de mauvaises décisions en en prenant de plus mauvaises encore! r     

Propos recueillis 
    par Robert Messiaen

source: L'Echo.be

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mardi 23 septembre 2008

Vous avez dit HEDGE FUND ?

L'Etat hedge fund

Les vrais excès sont dans la mentalité même des métiers de la finance. De l’employé commercial chargé de fourguer son crédit au PDG cupide, l’objectif est la course au rendement, la course aux primes, à l’argent-Dieu.

Bruxelles (L'Echo) - 700 milliards de dollars. Ou peut-être 1000 pour racheter les montagnes d’actifs toxiques dont se sont gavées les banques américaines. On ne sait pas. Qu’importe. Le montant sera forcément stratosphérique. L’équivalent du PIB d’un pays comme l’Inde ou le Brésil. Plus cher que la guerre en Irak. Un plan qui verra, à l’insu de son plein gré, l’Etat américain devenir le plus gigantesque hedge fund de la planète… 

Mais face à la plus grave crise financière depuis la Grande Dépression, quelle alternative ?De l’aveu même des politiques, les Etats-Unis étaient à quelques jours d’un effondrement complet de leur système financier. Il fallait un coupe-feu. C’est tout ce qu’on a trouvé. Et il n’est même pas sûr que cela suffise. Ce qui est certain, c’est qu’il faudra des années pour sortir et démonter les ressorts de cette crise. 

En attendant, les donneurs de leçons post-traumatisme se répandent. Il faut, disent-ils, davantage réglementer. Car le marché laissé à lui-même a détruit bien trop de valeur. Et il est peuplé de trop de psychopathes à tendance suicidaire. Certes.

 Mais la vraie question n’est-elle pas d’abord le contrôle d’une réglementation déjà très abondante dans un pays où une quarantaine d’organismes cohabitent pour surveiller les marchés ? Il faut aussi éliminer les banques d’affaires, entend-on. Or si Bear Stearns et Lehman couraient derrière la part de marché, qu’ont donc à se reprocher Goldman Sachs et Morgan Stanley ? Qu’est-ce qui garantit qu’un Merrill Lynch repris par Bank of America ne va pas accoucher d’un géant hybride, peu réactif et difficilement gérable tel que Citigroup.Les vrais excès sont ailleurs. Ils sont ancrés dans la mentalité même des métiers de la finance. De l’employé commercial chargé de fourguer son crédit au PDG cupide, l’objectif est la course au rendement, la course aux primes, à l’argent-Dieu. 

Le patron de JPMorgan, Jamie Dimon, avait eu cette phrase qui résume assez bien ce contre quoi ce plan Paulson doit, en réalité, lutter : « Dans la finance actuelle, il faut être très courageux pour ne pas prendre un risque qui peut vous rapporter de l’argent.»

 

par Serge Van Daele

source: L'Echo.be


Hedge fund
A hedge fund is an investment fund structured to avoid direct regulation and taxation in major host countries and which charges a performance fee based on the increase of the value of the fund's assets. The assets of a hedge fund will usually be managed by an investment management firm based in a major financial centre. As a hedge fund is largely unregulated, its investment manager is able to deploy a wider range of investment strategies and tactics than it could for a regulated fund, and investing in a hedge fund is therefore considered to carry more risk.

See more at Wikipedia.org...

Gestion alternative
La gestion alternative est un mode de gestion de portefeuille appliqué par certains fonds d'investissement dits « fonds alternatifs » ou « fonds de couverture », ou en anglais hedge funds. En bref, ce sont des investissements souvent considérés comme risqués parcequ'utilisant parfois un leverage élevé, alors qu'ils tendent au contraire a eliminer le risque de marché. Au vue de la hauteur des risques supposés, ils sont réservés aux investisseurs sophistiqués. Ils sont apparus dans les années 1950 avec les activités de Alfred Winslow Jones, un ancien journaliste du magasine Fortune. Ils ont étés decouvert par le public a l'occasion de la devaluation de la Livre Sterling consecutive a l'intervention de Georges Soros. Historiquement, les family offices furent les premiers à les utiliser et ont ainsi contribuer à leur émergence. En novembre 2007, Près de 10 000 hedge funds sont opérationnels dans le monde et gèrent environ 1 760 milliards  USD (1 250 milliards d'euros) : source article du Monde du 28.10.2007

Pour la suite, voir Wikipédia.org...

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jeudi 18 septembre 2008

Pas inutile par les temps qui courent ...

De quels documents ai-je besoin lors de ma démission ?


REPONSE

Lorsqu'un salarié quitte une entreprise, son employeur est tenu de lui fournir un certain nombre de documents:

L'attestation de vacances

1. Règle

Lorsqu'un employé quitte une entreprise, l'employeur est tenu d'opérer la liquidation du pécule de vacances. Les résultats de cette liquidation doivent figurer sur une attestation de vacances. Ce document doit être remis à l'employé.

2. Types

Il existe deux types d'attestation de vacances:

  • une attestation de vacances pour le solde du pécule de vacances: cette attestation contient les droits aux vacances constitués au cours de l'année civile précédant l'année où vous quittez l'entreprise;
  • une attestation de vacances pour le pécule anticipé: cette attestation contient les droits aux vacances constitués au cours de l'année civile où vous quittez l'entreprise .

3. Contenu

L'employeur doit indiquer:

  • La période durant laquelle l'employé ou l'apprenti a travaillée pour lui et éventuellement les périodes assimilées.
  • la période d'occupation (durée de travail) et éventuellement les modifications;
  • la base de calcul du pécule de vacances et le montant brut du pécule de vacances;
  • dans le cas du solde du pécule de vacances, le nombre de jours de vacances auxquels a droit le travailleur et le nombre de jours qu'il a déjà pris;
  • que l'employé est tenu de remettre ladite attestation à son prochain employeur.

Papier ou format électronique?
L'employeur donne l'attestation de vacances sur papier. Il peut également remettre cette attestation sous format électronique à l'employé, moyennant l'observation de conditions strictes.

haut

L'attestation d'emploi

Règle

L'employeur est tenu de remettre au travailleur qui quitte l'entreprise un certificat mentionnant:

  • les dates de début et de fin du contrat de travail;
  • la nature du travail effectué.

Attention!

Ce certificat ne peut contenir aucune autre mention, à moins que le travailleur ait expressément marqué son accord.

Papier ou format électronique?
L'employeur donne l'attestation d'emploi sur papier. Il peut également remettre cette attestation sous format électronique à l'employé, moyennant l'observation de conditions strictes.

Le compte individuel

Règle

Dans les deux mois qui suivent la fin du trimestre au cours duquel le travailleur a quitté l'entreprise, l'employeur doit transmettre au travailleur un compte individuel pour l'année courante.

Ce document contient, à côté des données d'identification de l'employé, un aperçu très détaillé un sommaire très détaillé des sommes qui ont été payées pour la période, par le trimestre et pour l'année à l'employé.

Papier ou format électronique?
L'employeur donne le compte individuel sur papier. Il peut également remettre ce compte sous format électronique à l'employé, moyennant l'observation de conditions strictes.

haut

Le formulaire de chômage C4

1.Règle

L'employeur doit compléter, pour le travailleur mis en chômage, un formulaire portant la référence C4. Ce certificat permettra au travailleur de prétendre aux allocations de chômage.

2. Contenu

L'ONEM a établi un document à cet effet. Dans ce document, l'employeur doit compléter les données relatives à l'identité du travailleur, son occupation au sein de votre entreprise, ainsi que les motifs de la mise en chômage. Le cas échéant, il donne aussi le sinformations au sujet de l'accompagnement de l'outplacement et des compensations additionnelles éventuelles des allocations de chômage.

Le but de ce certificat vise à permettre à l'ONEM d'examiner si lamise en chômage de ce travailleur est volontaire ou involontaire.

Un modèle peut être obtenu sur le site de l'ONEM

en collaboration avec. SD WORX

source: Références.be


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mercredi 10 septembre 2008

Que fera-t-on sans Internet ?

Gagnez du temps ! Les finances et l'administration en ligne

Le fait de régler vos affaires bancaires en ligne vous permet d'économiser beaucoup de temps. Mais ce n'est pas tout : demander une bourse d'études ou des subsides pour les entrepreneurs, envoyer une lettre recommandée, ... tout ça, on peut le faire en ligne! Questions Capitales énumère pour vous quelques sites Internet utiles et intéressants.

Les services en ligne de l'administration nécessitent cependant la nouvelle carte d'identité (et un lecteur) ou un 'Token'. Il s'agit d'une carte de sécurité avec un code personnel. Vous trouverez de plus amples informations sur www.belgium.be, sous 's'inscrire'.

  • Votre déclaration d'impôts : www.taxonweb.be. L'avantage de Tax-on-Web réside dans le fait qu'il y a un contrôle automatique qui permet de voir si vos calculs sont corrects. Intéressant pour les distraits.
  • Demander une bourse d'études : Surfez sur www.allocations-etudes.cfwb.be pour demander une bourse d'études pour l'enseignement secondaire ou supérieur.
  • Interruption de carrière et crédit-temps :www.securitesociale.be. Vous y trouverez plus d'informations sur votre dossier, les paiements, la carte d'allocations C62 et la fiche fiscale 2008.
  • Formulaires : Vous avez besoin de formulaires officiels pour l'administration ou pour introduire une demande par écrit ? Vous trouverez tous les formulaires surformulaires.wallonie.be/index.jsp.
  • Envoyer une lettre recommandée : Via www.mycertipost.be, vous pouvez envoyer une lettre recommandée en ligne. La Poste se charge de l'impression et de l'envoi. Mais cela vous coûtera 50 % plus cher.
  • La circulation routière : Les travaux, mais aussi des accidents, les bouchons et les radars sur www.rtbf.be/mobilinfo.
  • Un conseil : Jetez également un coup d'œil sur le site Internet de votre ville ou de votre commune. Avec un peu de chance, vous y trouverez un guichet en ligne pour y introduire vos demandes.

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dimanche 7 septembre 2008

Déontologie ?

Survey: IT staff would steal secrets if laid off

August 29, 2008 —

 

Most IT staff would steal sensitive company information, including CEO's passwords and customer details, if they were laid off, according to a new survey from Cyber-Ark.

A staggering 88 percent of IT administrators admitted they would take corporate secrets, if they were suddenly made redundant. The target information included CEO passwords, customer database, research and development plans, financial reports, M&A plans and the company's list of privileged passwords.

The research also revealed that, of that 88 percent, a third would take the privilege password list to gain access to valuable documents such as financial reports, accounts, salaries and other privileged information.

Identity management firm Cyber-Ark conducted the survey of 300 IT professionals in its annual review 'Trust, Security & Passwords'.

Udi Mokady, co-founder and chief executive of Cyber-Ark, said that company directors were "blissfully unaware" of the administrative or privileged passwords information that IT staff have access to. "These privileged identities, which lie on hundreds of servers and applications, very rarely get changed as it is often considered too much hassle. When people leave the organization, they can often still access the network using these passwords to acquire an organizations' most sensitive information," he said.

IT administrators are not exempt from keeping sloppy security habits. The survey found that one third of IT staff still keep passwords on post-it notes. And 35 percent admitted to sending highly confidential information via email or couriers.

The survey also found that one third of IT staff admitted to snooping around the network, looking at highly confidential information, such as salary details and people's personal emails.

Mokady warned companies to routinely change and manage passwords. "You can install the best security systems in the world, but if your staff do not respect the information they are entrusted with, then the information will definitely go astray -- just as the findings of this survey have illustrated."

A quarter of companies surveyed admitted to suffering from internal sabotage and/or cases of IT security fraud. One third of companies believe that industrial espionage and data leakage is rife, with data being leaked out of their companies and going to their competitors or criminals, usually via high gigabyte mobile devices such as USB sticks, iPods, Blackberry's and laptops or even sent over email.

source: Computerworld UK


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lundi 1 septembre 2008

Mieux vaut prévenir que guérir ...

La revue Budget & Droits de Test-Achats nous rapelle dans son numéro 200 de septembre/octobre 2008 que «le courrier électronique n'est pas protégé par le secret des lettres mais par les dispositions sur le respect de la vie privée» !

MON E-MAIL EST-IL RÉELLEMENT CONFIDENTIEL ?

J’ai envoyé un e-mail à un collègue de travail, mais je n’aimerais pas que son contenu
tombe sous les yeux de mon patron…

Le courrier électronique n’est pas protégé par
le secret des lettres mais par les dispositions
sur le respect de la vie privée. En principe, une
autre personne que le destinataire de votre email
ne pourra avoir accès ou consulter votre
message, sauf exceptions consacrées par la
loi. Si un tiers prend malgré tout connaissance
de votre e-mail, il ne pourra pas s’en prévaloir
puisqu’il y aura eu accès de manière illicite.
Au travail, votre patron ne pourra pas non plus
lire le contenu de vos e-mails privés, mais il
pourra accéder à vos messages professionnels
en cas de maladie (pour autant que vous ayez
été préalablement informé qu’une telle mesure
de contrôle existe) ou avec votre accord.
Si l’e-mail en question n’est pas confidentiel,
il pourra être relayé vers d’autres personnes.
Mais quand un message doit-il être considéré
comme confidentiel ? Ceci est laissé à la
libre appréciation des juges, et le caractère
confidentiel peut être «bafoué» en cas de
défense d’un intérêt supérieur (pornographie
enfantine par exemple). Même dans le cas
d’une liste d’adresses (mailing list), c’est-à-dire
un ensemble de personnes à qui le même
message est adressé, la communication reste
privée à l’égard des tiers non inclus dans la
liste, pour autant que les personnes de la
mailing list soient unies par une communauté
d’intérêts. Comme quand, par exemple, la liste
est exclusivement réservée au personnel d’une
entreprise ou aux membres d’une société ou
d’une association. Sinon, la communication est
publique. C’est le cas quand tout le monde peut
s’inscrire à la liste, qui est ouverte à tous.

CONSEIL PRATIQUE
Pour éviter que votre prose ne tombe
sous des yeux auxquels elle n’est pas
destinée, vous pouvez adjoindre à votre
e-mail une clause de confidentialité,
qui jouera surtout un rôle dissuasif.
C’est un texte avertissant du caractère
confidentiel de ce courrier le tiers qui
n’est pas destinataire.
Exemple : “Cet e-mail ainsi que le/les
fi chier(s) attaché(s) sont strictement
confidentiels et destinés exclusivement
au(x) destinataire(s)
mentionné(s) dans l’adresse électronique.
Si vous n’êtes pas (un de) ce(s)
destinataire(s), nous attirons votre
attention sur le fait qu’il est strictement
interdit de copier, de faire suivre ou
d’utiliser les informations contenues dans
cet e-mail. Si vous avez reçu ce message
par erreur, nous vous remercions de nous
le notifier et de détruire ce message”.

PLUS D’INFO :

▶ “Vous avez un e-mail” - B&D 196
▶ “Le bon de commande”- B&D 199
▶ “Emplettes sur Internet, mode d’emploi” - B&D 183
▶ “Voyage en Chine virtuelle” - B& D 186
▶ “Paiements électroniques : découragez les
fraudeurs !” - B&D 183
▶ “Votre blog : mode d’emploi” - B&D 198
▶ “Tu ne téléchargeras point ?” - B&D 194

source: BUDGET & DROITS septembre / octobre 2008 – n° 200 19

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